Mémoire de maîtrise en travail social portant sur : Trouble du Spectre de l'alcoolisation Foetale :comment les parents d'accueil et adoptifs répondent aux besoins des enfants en contexte de protection de la jeunesse?
Collaboration entre SafEra et Mme Catherine Langevin dans le cadre d’un mémoire de maîtrise en travail social
Il y a quelques années, Mme Catherine Langevin, alors étudiante à la maîtrise en travail social, a approché l’organisme SafEra dans le cadre de la réalisation de son mémoire de recherche. Son projet visait à recueillir les témoignages de familles d’accueil ayant sous leur garde un ou plusieurs jeunes vivant avec un trouble du spectre de l’alcoolisation fœtale (TSAF).
L’objectif de cette recherche était de mieux comprendre l’expérience et les besoins de ces familles, ainsi que les défis rencontrés dans l’accompagnement quotidien de jeunes présentant un TSAF. Par le biais d’entretiens et de récits de vie, Mme Langevin a pu mettre en lumière la complexité des réalités vécues, tout en soulignant les forces, les stratégies d’adaptation et la résilience dont font preuve les familles d’accueil.
La participation de SafEra à ce projet s’inscrivait dans la continuité de sa mission visant à favoriser la compréhension, la sensibilisation et le soutien autour du TSAF. Cette collaboration a permis de contribuer à une meilleure reconnaissance du rôle essentiel des familles d’accueil et de promouvoir une approche plus adaptée et inclusive au sein des pratiques sociales.
SafEra tient à remercier Mme Catherine Langevin pour son travail rigoureux et empreint d’humanité, ainsi que pour la valeur ajoutée que son mémoire apporte au développement des connaissances dans le domaine du travail social et de l’intervention auprès des jeunes vivant avec le TSAF.
Conclusions
"Les principales conclusions de cette recherche montrent que les parents d’accueil et adoptifs ont développé une expertise auprès de leur enfant avec un TSAF, qu’ils utilisent différentes stratégies d’intervention pour répondre à ses besoins. On constate un manque de connaissance du TSAF au sein de la protection de la jeunesse, du système scolaire et chez les professionnels de la santé. Les parents font preuve de proactivité pour aller chercher des services adéquats pour leur enfant avec un TSAF."